Valmont de la Louveterie avait quitté l’Empire fin novembre. Il s’était promis de revenir bien avant les fêtes. Les aléas des routes, de la faim et du froid lui avaient déchiré une part de sa promesse. Il dû passer Noël dans un village autour d’une bien heureuse table malgré tout. Il s’était vu offrir un foulard à un marmot qui trainait là et puis reçu des bas blancs qu’il s’était aussitôt –le lendemain- mit. Il ne lui restait que quelques jours et c’est le vingt-neuf au soir qu’il reconnut la route pour pouvoir, enfin passer la nouvelle année dans le havre qu’Ambroise avait pour rendre le chaud au cœur et à l’esprit.
L’homme de ses vingt et un an, fit quelques pas s’approchant de la porte, il retira sa toque avec une politesse et une tenue certaine avant de clarifier sa venue et sa présence, le regard porté vers la tour des Minimes.
Oyez ! Je suis Valmont de la Louveterie, je reviens d’un long périple et suis attendu depuis bien des années.. Connu sous le nom de Priam !
L’homme souriait mine de rien, entre ses mains se tenait les rênes de sa monture qui soupirait par le museau de larges explosions de fumées allant presque réchauffer les épaules de Valmont.
Cela faisait de longues années qu’il était parti, subitement, dans un navire dès qu’il apprit la mort de sa tendre mère qu’il affecta ses valeurs et sa destinée. Il passa de nombreuses années sur les planches d’un navire marchand, qui termina ses livraisons dans les dépotoirs du vieux port d’Hastings.
Il était connu sous le nom de Priam, mais un sang bleu sur un navire serait vite destiné à une vie difficile, menacé par les brigands et les âmes farouches. Il décida en rendant hommage à son mentor de porter son nom jusqu’à arriver en ces lieux, où il savait que Priam y avait laissé sa marque aussi pénible que cela puisse paraître. Il ne reniait rien de son passé, il revient et ce avec l’intention de passer la nouvelle année avec les siens avant de repartir.
En attendant a réactivité de la garde, il recula doucement pour rester sur la même ligne que la tête de la monture, le regard marbre baissé il se demandait combien de temps resterait – il dehors, est – ce qu’ils le reconnaîtraient, l’auraient – il oublié ? Il se disait également qu’il pourrait peut-être revenir souvent, tous les mois passer quelques jours et saluer la famille, cela permettrait également de resserrer les liens. Valmont n’avait jamais oublié, même quelques années plus tard il demeurait aussi bon qu’avant, sûr de lui et infatigable. Debout et face au souvenir, il attendait.
L’homme de ses vingt et un an, fit quelques pas s’approchant de la porte, il retira sa toque avec une politesse et une tenue certaine avant de clarifier sa venue et sa présence, le regard porté vers la tour des Minimes.
Oyez ! Je suis Valmont de la Louveterie, je reviens d’un long périple et suis attendu depuis bien des années.. Connu sous le nom de Priam !
L’homme souriait mine de rien, entre ses mains se tenait les rênes de sa monture qui soupirait par le museau de larges explosions de fumées allant presque réchauffer les épaules de Valmont.
Cela faisait de longues années qu’il était parti, subitement, dans un navire dès qu’il apprit la mort de sa tendre mère qu’il affecta ses valeurs et sa destinée. Il passa de nombreuses années sur les planches d’un navire marchand, qui termina ses livraisons dans les dépotoirs du vieux port d’Hastings.
Il était connu sous le nom de Priam, mais un sang bleu sur un navire serait vite destiné à une vie difficile, menacé par les brigands et les âmes farouches. Il décida en rendant hommage à son mentor de porter son nom jusqu’à arriver en ces lieux, où il savait que Priam y avait laissé sa marque aussi pénible que cela puisse paraître. Il ne reniait rien de son passé, il revient et ce avec l’intention de passer la nouvelle année avec les siens avant de repartir.
En attendant a réactivité de la garde, il recula doucement pour rester sur la même ligne que la tête de la monture, le regard marbre baissé il se demandait combien de temps resterait – il dehors, est – ce qu’ils le reconnaîtraient, l’auraient – il oublié ? Il se disait également qu’il pourrait peut-être revenir souvent, tous les mois passer quelques jours et saluer la famille, cela permettrait également de resserrer les liens. Valmont n’avait jamais oublié, même quelques années plus tard il demeurait aussi bon qu’avant, sûr de lui et infatigable. Debout et face au souvenir, il attendait.