[A l'aube du vingt-neuvième jour]
Le couple ducal en avance? Oui, il s'agissait d'une préférence, la même depuis des années mais peu de fois vraiment respectée par la Valten quoique la tendance semblait quelque peu changer dernièrement. La monture lui manquait de plus en plus mais qui disait voyage ou trajet plus ou moins long, disait voiture, pour encore quelques temps. La liberté de mouvement suivrait celle de son corps car il n'y avait pas à dire, cet enfant commençait à lui pesait bien plus sur les épaules que sur les jambes. La voiture aux armoiries ducales s'arrêta devant les deux grandes tours gardant la cour du castel.
Pouvaient ils entrer? Devaient ils s'annoncer? La Valten qui avait passé sa tête par l'ouverture de la voiture afin d'admirer l'architecture des lieux ne pu s'empêcher de jeter un coup d'oeil à son époux. Aurait il les réponses à ses questions? Il était même probable qu'il connaisse bien mieux les lieux qu'elle, très probable.
Le paysage était magnifique quoiqu'il en était, un ravissement pour les yeux. Cette journée promettait d'être haute en couleurs, son époux serait à ses côtés - si l'on peut dire - il jouterait de nouveau et en plus il porterait de une fois de plus les couleurs de la Touraine. Eléïce ne connaissait pas bien les liens qu'il avait avec Ellesya ou plutôt qu'il avait eu avec les parents de la jeune duchesse par le passé. Trop jeune tourangelle probablement pour encore bien connaitre l'histoire de cette Touraine qui tournait déjà à pleins régime tandis que jeune auvergnate ses pas la menaient sur les traces de ses frères à la COBA. Temps bien plus que révolu, l'ainé décédé il y avait cinq années à présent pendant que le second vivait à Murat, presque reclu, assez pour n'en avoir aucunes nouvelles. Sa vie d'aujourd'hui était tellement différente qu'elle aurait cru ce passé appartenant à une autre personne. Ces deux vies n'étaient pas comparables, dans chacune d'elle il y avait un bonheur différent, aucune ne serait échangée pour l'autre et le temps continuerait de s'écouler lentement mais sûrement.
Un dernier coup d'oeil alentour, l'agitation due aux joutes était bien palpable, Lin s'adressa à son époux en souriant tant elle était heureuse de se trouver à Amboise avec lui, souhaitez vous nous annoncer mon cher?
Le couple ducal en avance? Oui, il s'agissait d'une préférence, la même depuis des années mais peu de fois vraiment respectée par la Valten quoique la tendance semblait quelque peu changer dernièrement. La monture lui manquait de plus en plus mais qui disait voyage ou trajet plus ou moins long, disait voiture, pour encore quelques temps. La liberté de mouvement suivrait celle de son corps car il n'y avait pas à dire, cet enfant commençait à lui pesait bien plus sur les épaules que sur les jambes. La voiture aux armoiries ducales s'arrêta devant les deux grandes tours gardant la cour du castel.
Pouvaient ils entrer? Devaient ils s'annoncer? La Valten qui avait passé sa tête par l'ouverture de la voiture afin d'admirer l'architecture des lieux ne pu s'empêcher de jeter un coup d'oeil à son époux. Aurait il les réponses à ses questions? Il était même probable qu'il connaisse bien mieux les lieux qu'elle, très probable.
Le paysage était magnifique quoiqu'il en était, un ravissement pour les yeux. Cette journée promettait d'être haute en couleurs, son époux serait à ses côtés - si l'on peut dire - il jouterait de nouveau et en plus il porterait de une fois de plus les couleurs de la Touraine. Eléïce ne connaissait pas bien les liens qu'il avait avec Ellesya ou plutôt qu'il avait eu avec les parents de la jeune duchesse par le passé. Trop jeune tourangelle probablement pour encore bien connaitre l'histoire de cette Touraine qui tournait déjà à pleins régime tandis que jeune auvergnate ses pas la menaient sur les traces de ses frères à la COBA. Temps bien plus que révolu, l'ainé décédé il y avait cinq années à présent pendant que le second vivait à Murat, presque reclu, assez pour n'en avoir aucunes nouvelles. Sa vie d'aujourd'hui était tellement différente qu'elle aurait cru ce passé appartenant à une autre personne. Ces deux vies n'étaient pas comparables, dans chacune d'elle il y avait un bonheur différent, aucune ne serait échangée pour l'autre et le temps continuerait de s'écouler lentement mais sûrement.
Un dernier coup d'oeil alentour, l'agitation due aux joutes était bien palpable, Lin s'adressa à son époux en souriant tant elle était heureuse de se trouver à Amboise avec lui, souhaitez vous nous annoncer mon cher?