Lors de sa permission accordée par Pierre Du Val de Loire, son Chef d’armée, Jean Lebras surnommé Drunk s’était installé en la capitale de Touraine.
Lors de son passage éclair, il s’était rendu sur les terres de la Duchesses de la Louveterie.
C’était deux ou trois jours avant que Tours ne soit pris d’assaut par les forces ponantaises.
Ce matin là , chevauchant le destrier que lui avait octroyé l’armée, l’ancien routier prit la direction d’Amboise.
L’automne commençait à rendre les couleurs des arbres chatoyantes. La guerre lui parut loin tellement le paysage était apaisant.
En route, il croisa un paysan qui, au premier abord, faillit prendre ses jambes à son cou mais qui lui montra, malgré sa crainte, la route à prendre.
Au détour d’un chemin, il aperçut le Castel d’Amboise, on aurait pu noter sur son visage une énorme surprise, visiblement il ne s’attendait pas à une telle propriété. Il était vraiment sidéré.
Le château surplombait la vallée.
Il fit prendre à Foudre un petit trot, s’engagea sur l’immense pont pour traverser la Loire et se dirigea vers ce qui lui semblait être la tour de garde.
Il s’y arrêta à bonne distance et resta là à examiner les lieus. De loin on aurait pu dire qu’il préparait un mauvais coup.
Un garde aurait certainement été très inquiet de voir un tel énergumène en train de mirer le Château.
Drunk ne laissait pas paraître son visage, l’ombre de son chapeau le dissimulait.
A sa façon de se tenir sur son destrier, et à sa corpulence, il ne faisait aucun doute que c’était un homme d’arme.
A cette distance, le garde ne pouvait certainement pas lui donner un âge.
Au bout d’une heure, Drunk n’avait toujours pas changé sa position.
Immobile comme une statue, il profitait du soleil qui lui réchauffait le corps.
Mais était-il une menace ?
Lors de son passage éclair, il s’était rendu sur les terres de la Duchesses de la Louveterie.
C’était deux ou trois jours avant que Tours ne soit pris d’assaut par les forces ponantaises.
Ce matin là , chevauchant le destrier que lui avait octroyé l’armée, l’ancien routier prit la direction d’Amboise.
L’automne commençait à rendre les couleurs des arbres chatoyantes. La guerre lui parut loin tellement le paysage était apaisant.
En route, il croisa un paysan qui, au premier abord, faillit prendre ses jambes à son cou mais qui lui montra, malgré sa crainte, la route à prendre.
Au détour d’un chemin, il aperçut le Castel d’Amboise, on aurait pu noter sur son visage une énorme surprise, visiblement il ne s’attendait pas à une telle propriété. Il était vraiment sidéré.
Le château surplombait la vallée.
Il fit prendre à Foudre un petit trot, s’engagea sur l’immense pont pour traverser la Loire et se dirigea vers ce qui lui semblait être la tour de garde.
Il s’y arrêta à bonne distance et resta là à examiner les lieus. De loin on aurait pu dire qu’il préparait un mauvais coup.
Un garde aurait certainement été très inquiet de voir un tel énergumène en train de mirer le Château.
Drunk ne laissait pas paraître son visage, l’ombre de son chapeau le dissimulait.
A sa façon de se tenir sur son destrier, et à sa corpulence, il ne faisait aucun doute que c’était un homme d’arme.
A cette distance, le garde ne pouvait certainement pas lui donner un âge.
Au bout d’une heure, Drunk n’avait toujours pas changé sa position.
Immobile comme une statue, il profitait du soleil qui lui réchauffait le corps.
Mais était-il une menace ?